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Elisabeth Ruelle Megrelis - Apprendre l'anglais dès le berceau

Elisabeth Ruelle Megrelis, fondatrice d'Helen Doron.

 

Mère de trois enfants de 12 ans, de 16 ans et de 18 ans, elle fait partir sa fille avec My English School à l'âge de 7 ans, en internat anglais. 

 

Cette immersion l'inspire dans son projet de fonder le premier le centre Helen Doron en France, la même année. 

 

Elle nous raconte son expérience avec My English School, et sa méthode pour apprendre l'anglais, pour les tout petits. 

 

Une chose est sûre : « L'anglais ne s'apprend pas avec un stylo et un papier  », conclue Elisabeth. 

My English School : Comment avez-vous fait avec vos enfants pour qu'ils apprennent l'anglais ?

Elisabeth Ruelle Megrelis : J'ai vécu une expérience unique avec ma fille, puisqu'elle est partie trois mois en Angleterre, en internat, avec My English School, en CE2. 

 

Le projet de faire partir ma fille Aliénor, qui avait un an d'avance à l'époque, était une évidence.

 

L'école primaire nous avait proposé cette solution pour éviter un saut de classe, parce qu'elle avait déjà un an d'avance.

Elle est donc partie trois mois, et a fêté ses huit ans là-bas, en immersion complète dans une « boarding school » magnifique, au milieu de la campagne anglaise. 

 

C'était la seule Française à l'époque. Elle est revenue bilingue à l'oral. 

 

Nous avons renouvelé l'expérience en classe de CM1, pour un trimestre, de janvier à mars.

À son retour, elle est revenue bilingue non seulement à l'écrit, mais aussi à l’oral. 

 

Cette immersion lui a permis d'intégrer par la suite une école franco-américaine à Paris. Aliénor a rejoint dès le CM2 un cycle bilingue.

 

Aujourd'hui, elle est en terminale et va passer un bac international. Elle est aussi à l'aise en anglais qu'en français, aussi bien à l'oral qu'à l'écrit.

My English School : Chez Helen Doron quelle méthode utilisez-vous ?

Elisabeth Ruelle Megrelis : Chez Helen Doron, nous commençons, les cours d’anglais dès l'âge de trois mois, ce qui peut paraître un peu surprenant, mais notre objectif est d’immerger les bébés dans l'anglais dès leur naissance. 

 

Concrètement, nous proposons des ateliers hebdomadaires de 45 minutes, où chaque bébé est accompagné d'un parent.

Pendant ces 45 minutes, nous réalisons une quinzaine d’activités différentes. C’est une expérience très riche, qui permet de stimuler l'apprentissage sous toutes ses formes : auditif, kinesthésique, visuel. 

 

Par exemple : éveil musical, éveil à la langue anglaise, utilisation des signes en anglais pour les bébés, et éveil à la lecture globale, ce qu'on appelle le « pre-reading » , concept qui commence à se développer en France.

 

C’est un moment de complicité et de joie pour les parents et les enfants.

 

À la maison, les parents continuent à transmettre l’apprentissage de l’anglais à travers des pistes audio, comme des chansons ou des comptines qu'ils ont découvertes pendant l'atelier.

Cette immersion permet à l'enfant de grandir dans un climat anglophone, par le biais de cours hebdomadaires et de l’immersion à la maison. 

My English School :Et pour les parents qui hésitent que conseillez-vous ?

Elisabeth Ruelle Megrelis : Je conseille à toutes les familles, depuis que j'ai découvert My English School, de faire partir leurs enfants en séjour linguistique dans une « boarding school » en Angleterre.

Cela permet d’être immergés 24h/24 avec des élèves anglais, d'échanger de manière informelle et aussi de suivre des cours en anglais, selon le programme de l’Éducation nationale anglaise. 

 

Les séjours linguistiques ou les scolarités permettent aux enfants de pratiquer des activités sportives, de participer à des orchestres, de rejoindre des clubs de débat ou de faire des ateliers d'art, tout en pratiquant l’anglais. C’est une expérience extrêmement riche, parce que pour moi, l'anglais ne s'apprend pas avec un stylo et un papier, mais vraiment en échangeant avec des Anglais tout au long de la journée.

 

En tant que maman, ayant envoyé ma fille âgée de 7 ans pour un trimestre en Angleterre, je peux vous garantir que les enfants sont capables de s’adapter à tout. Les jeunes enfants ont une capacité d’adaptation qu’on ne soupçonne pas.

C’est un âge vraiment extraordinaire.

Le plus tôt, ils commencent à apprendre l’anglais, le mieux ils parlent.

 

Même s'ils ne maîtrisent pas encore parfaitement anglais, ils disposent de divers moyens pour s’exprimer : à travers les émotions, les gestes, le dessin, le regard… Il ne faut vraiment pas hésiter à les faire partir en boarding school, c'est à dire en internat anglais.

 

Au début, il y a toujours une période d’adaptation, mais les écoles partenaires prennent ça en compte, et le personnel local est bien formé pour ça.

My English School : Et de ces 10 ans de collaboration avec My English School qu'en retirez-vous ?

Elisabeth Ruelle Megrelis : Finalement, ce que je retiens de cette expérience avec My English School, c’est que ma fille est revenue bilingue, puis elle suit un cursus franco-américain depuis le CM2.

 

Le fait d’être bilingue en anglais lui permet d’être à l’aise dans d'autres langues.

Dès le CM2, l’anglais n’était plus un sujet, et elle a pu atteindre un niveau avancé en italien et en chinois.

C’est une chance énorme pour son avenir. 

 

Cette aventure avec My English School en 2016 a eu un impact sur toute la famille.

Mon plus jeune enfant, qui a maintenant 12 ans, a aussi rejoint une école bilingue dès le CP. Il n’est pas parti avec My English School, mais il échange avec autrui en anglais et suit un programme américain depuis cette classe.

L'anglais rythme son quotidien, il l'écrit, il le parle, et la moitié de ses amis sont anglophones.

C’est aussi la langue parlée dans la cour de récréation. Cela a vraiment changé la vie de mes deux plus jeunes.

 

Quant à moi, cette expérience a aussi eu un grand impact sur mon parcours.

 

C’est la même année, que je décide de fonder des centres Helen Doron en France.

Aujourd’hui, c’est une aventure entrepreneuriale extrêmement enrichissante, avec l’ouverture d’autres écoles. Nous comptons aujourd’hui dix écoles en France et environ 5 000 élèves. Nous enseignons aussi l’anglais dans des écoles, des crèches, et même dans des entreprises.

My English School : Comment qualifieriez vous l'expérience avec My English School ?

Elisabeth Ruelle Megrelis : My English School, en quelques mots : une expérience sur mesure.

 

Quand ma fille était violoniste et passionnée de chevaux, My English School m’a proposé trois écoles différentes. J’étais à la recherche d’une école primaire, à taille humaine, uniquement pour filles sans collège ou lycée. Je refusais les grandes écoles. Parmi les trois, j’ai eu un vrai coup de cœur pour l’une d'entre elles. Ma fille est partie là-bas, a pris des cours de violon chaque semaine, a nourri les chevaux tous les matins et est même montée à cheval. 

 

Je remercie vraiment My English School pour son expertise, d’avoir fait la sélection d'écoles, et d’avoir fait le lien entre l’établissement anglais et l’école primaire de ma fille à Paris .

My English School nous a accompagnés dans les démarches administratives auprès de l'école et de l'Éducation nationale. Il y a eu des démarches à faire, des lettres à rédiger, mais on n’a jamais été seul dans chacune des étapes.

 

Je recommande vivement les services et l’excellence de My English School.