Fidèle cliente de My English School, Paola Pozzi-Dazza témoigne de l'intérêt de faire partir ses enfants en scolarité pour un trimestre.
Au total, la famille Pozzi-Dazza compte plus de 10 projets en 10 ans avec My English School (principalement des scolarités, mais aussi quelques séjours linguistiques).
Alessandro, l'aîné, aujourd’hui en étude supérieur à Madrid, est parti 4 fois ; le second, Alberto est parti 6 fois ; quant à la petite dernière, Livia, elle est partie quatre fois, mais elle ne compte pas s’arrêter là !
D'origine espagnole et italienne, Paola a toujours baigné dans un environnement international et a souhaité offrir la même expérience à ses enfants.
Paola commence par chercher seule une boarding school pour son fils Alessandro. Le processus est long et fastidieux, et surtout elle aimerait trouver LA boarding school parfaite.
Elle fait alors appel à Colombe : c'est le début d'une longue aventure avec My English School.
Comment vous est venue l’idée de faire partir vos enfants à l’étranger pour un trimestre ?
Paola Pozzi-Dazza : Petite, je suis souvent partie trois semaines en juillet dans le cadre de séjours linguistiques à l'étranger avec des enfants de mon âge, tous de nationalités différentes. C'était des endroits magnifiques. J'avais envie qu'ils goutent à ces séjours à l'étranger mais je voulais quelque chose de plus cadré et l'internat anglais était la bonne solution.
L'internat anglais offre un cadre privilégié et protégé, un environnement propice à l'apprentissage et à l'épanouissement via de nombreux loisirs. Les jeunes sont souvent à la campagne, cela leur permet de jouer au rugby, de monter à cheval, de faire du vélo dans le parc de l'école...Les enfants prennent l'air et se déchargent de leur stress.
Partir trois mois, c'est un moyen assez sûr pour revenir avec un bon niveau d'anglais. En 10-12 semaines, on a le temps d'appréhender un nouveau cadre, nos nouveaux camarades, de comprendre ce qui est attendu de nous et de parfaire, naturellement et sans effort, son anglais.
Pourquoi avez-vous envoyé vos enfants plusieurs fois ?
Paola Pozzi - Dazza : Parce que c'est la régularité qui permet d'acquérir un certain niveau en langue. Il ne faut pas penser qu'après trois mois, ils vont revenir avec un niveau équivalent à un natif, c'est illusoire. C'est aussi l'effort que va mettre l'enfant, qui va permettre de progresser et d'atteindre un très bon niveau.
Partir en immersion, c'est bien plus dynamique que les cours d'anglais à l'école, parce que les enfants ont été obligés de prendre la parole de façon quotidienne et spontanée.
Comment ont vécu vos enfants leur scolarité en Angleterre ?
Paola Pozzi - Dazza : Mes enfants leur séjour en internat anglais et leur seul regret, c'est de ne pas avoir pu finir leur scolarité là-bas. Mes trois enfants étaient déjà heureux en France, mais ils se sont particulièrement épanouis dans le système anglais qui a su récompenser leur effort et leur motivation. Ces trimestres successifs en Angleterre leur ont donné une grande confiance.
Je ne perçois pas le fait de faire partir ses enfants en internat anglais comme une punition, mais comme une opportunité unique. Certains pensent que porter un uniforme est une contrainte et que le système anglais est rigide. Je suis persuadée que c'est tout l'inverse. Mes enfants en étaient enchantés et très fiers de porter leur uniforme.
Pour mon aîné, Alessandro, parti 3 fois 1 trimestre en internat anglais, cette expérience l'a fait grandir. S'il est à Madrid aujourd'hui pour ses études, ce n'est pas le fruit du hasard.
Quant à Alberto, mon cadet, cette aventure lui a donné goût à la liberté. Il a créé des liens forts en Angleterre et ne rêve que d'une chose : partir en road trip avec son ami anglais.
Ma petite dernière, Livia, en parle différemment car elle n’a pas le même âge que ses frères. Elle aussi souhaite retourner dans son école anglaise. Lorsqu'elle est rentrée en France la première fois, elle m'a confié qu'elle considérait les autres internes de sa maison comme sa seconde famille.
Quels sont les bénéfices de partir 3 mois en Boarding School ?
Paola Pozzi - Dazza : Je pourrais vous donner une infinité de raisons d'encourager vos enfants à passer un trimestre en Angleterre.
La liste est longue : épanouissement personnel, progrès en langue, confiance en soi...
Dans les écoles anglaises, les professeurs sont très présents et enseignent à de petites classes de 6 à 15 élèves. Chaque élève bénéficie d'un suivi personnalisé et d'un accompagnement par un tuteur tout au long de son séjour. Là-bas, le jeune n'est jamais laissé de côté. Même s'il fait des écarts, comme mon fils Alberto, qui a été puni à plusieurs reprises, il a toujours été soutenu et encouragé à progresser en classe.
Ces trois mois sont aussi une formidable occasion de développer ses talents et passions. Pour les enfants sportifs, c'est une chance inouïe de pratiquer régulièrement une activité physique, ce qui n'est pas toujours évident dans des grandes villes comme Paris. Les infrastructures y sont incomparables et certains enseignants sont d'anciens professionnels de haut niveau, ce qui crée une vraie émulation.
Un jour, j'ai demandé à mes enfants pourquoi ils étaient si enthousiastes à l'idée d'aller en cours. Ils m'ont répondu qu'ils étaient impatients de commencer leur journée. Là-bas, l'enseignement est très concret, pratique. Aller en cours de physique devenait même un plaisir car les TD leur permettaient d’expérimenter !
Au delà de l'aspect pédagogique des choses, c'est surtout la mentalité anglo-saxonne qui fait la différence : « tout est possible, on ne va pas casser l’enfant, on va tout faire pour qu’il réussisse. »
3 mots pour décrire cette aventure ?
Paola Pozzi - Dazza : Je dirai : autonomie, fierté, ouverture.
Je pense directement à l'autonomie, car grâce à la vie en internat les enfants deviennent de plus en plus responsables et indépendants. En résulte aussi de la fierté, celle de porter son uniforme, celle d'appartenir à une communauté et celle de se forger une identité autour de belles valeurs. Enfin cette aventure est synonyme d'ouverture : celle de découvrir des jeunes de nationalités différentes, de découvrir de nouvelles matières et de nouvelles activités.